Frequently Asked Questions
Questions Fréquemment Posées
| meilleur boa pour débuter | Boa constrictor terrarium | Boa et Python dans le même terrarium | Boa constrictor refuse de manger | Boa constrictor refuse la nourriture | Boa constrictor régurgitation | Boa constrictor agressif | boa agressif conseil| serpent échappé | boa échappé | Boa constrictor animal de compagnie | Boa constrictor chats | boa mange un petit chien | boa mange un chat |
3. Est-il possible de maintenir des boas et des pythons ensemble dans un même terrarium ?
4. Mon boa refuse de se nourrir ! Que puis-je faire ?
5. Mon jeune BCC du Suriname régurgite sa nourriture. Que puis-je faire ?
6. A l'aide ! Mon boa est très agressif ! Comment faire pour le calmer ?
7. Mon boa s'est échappé du vivarium. Que puis-je faire ?
Quel boa convient le mieux pour débuter ?
Selon notre opinion et notre expérience, les boïdés (boas et pythons) les plus adaptés au débutant sont les Boa c. imperator.
Voici pour quelles raisons :
Plus que d'autres boïdés, ils pardonnent les erreurs que l'on peut faire dans la façon de les maintenir
Ils sont très bons mangeurs
Ils sont relativement faciles à reproduire
Ils sont très peu affectés par le syndrome de régurgitation
Ils ne deviennent pas trop gros
Les boas que nous vendons aux débutant sont dociles
Ils sont de santé robuste
Parmi les boas disponibles dans notre élevage, nous recommandons en particulier les Boas Hog Island, les Boas Corn Island et la lignée naine des boas Colombiens.
Les "types" mentionnés ci-dessus tolèrent bien les manipulations et constituent d'idéaux "animaux de compagnie" pour qui aime entretenir une relation personnelle avec son reptile.
Attendez-vous vraiment que nous vous envoyions par e-mail le contenu de notre livre sur le boa ? Avant d'acquérir n'importe quel animal, on devrait toujours d'abord lire un livre sur la manière d'en prendre soin et de le maintenir.
Nous recommandons nos livres : "Ratgeber Abgottschlangen" et "Ihr Hobby - Boas und Pythons", publiés chez Bede Publishing Company. Nous ne suggérons pas ces livres dans le but de gagner de l'argent (nous avons déjà été payés pour ces livres), mais parce que le soin et l'élevage des grands serpents y sont décrits en détail.
Pour des questions particulières ou des problèmes qui ne sont pas traités dans nos livres, nous serons heureux de vous conseiller.
Est-il possible de maintenir des boas et des pythons ensemble dans un même terrarium ?
Presque tous les boas et pythons demandent des conditions de température et d'humidité semblables. Les valeurs moyennes diurnes doivent être de 60-65% d'humidité et de 28°C. Pour la nuit, nous suggérons 70-75% d'humidité et 23°C. Ces conditions sont idéales pour la plupart des boas et des pythons. Il y a cependant quelques exceptions, comme les pythons arboricoles et les boas émeraudes, qui ont besoin d'un milieu très humide. En dehors de ces deux espèces (et de quelques autres que nous avons omises), cela ne pose pas de problème de maintenir des boas et des pythons dans le même terrarium, pourvu qu'ils soient de tailles équivalentes. Ils peuvent même bien s'entendre. Cela se vérifie car ils ont tendance, dans ce cas, à rester ensemble. Si au contraire ils se fuient et urinent plusieurs fois par jour, c'est qu'ils ne s'entendent pas. Dans ce cas, les maintenir ensemble produirait un stress permanent. Ceci ne vaut pas seulement pour des boas et des pythons maintenus ensemble, mais aussi, en général, pour des serpents de même espèce. Ce qui précède porte sur le côté physique de la question. Mais il y en a un autre, à savoir le style. Selon nous, maintenir des boas et des pythons ensemble dans un même terrarium manque de style, comme un mariage en shorts et en t-shirts.
Mon boa refuse de se nourrir ! Que puis-je faire ?
Plusieurs raisons peuvent expliquer qu'un Boa c. adulte refuse de se nourrir alors qu'il n'est pas malade : l'animal peut être en mue, peut être gravide ou peut, dans le cas des mâles pendant la période de reproduction, avoir envie de s'accoupler.
Les bébés, les juvéniles ou les sub-adultes ne devraient jamais refuser de se nourrir, sauf en période de mue. S'ils ne mangent pas (à l'exception des nouveaux-nés qui doivent encore être démarrés), c'est toujours le signe qu'il y a quelque chose qui ne va pas.
Quand le boa refuse de se nourrir et que toutes les raisons « normales » mentionnées ci-dessus peuvent être exclues, la première chose à faire est de le peser, ce qui doit être fait toutes les semaines. Si le poids reste constant et que le boa fait preuve par ailleurs d'un comportement normal, on peut attendre plusieurs semaines pour voir si l'animal continue de refuser les proies.
Si le poids baisse significativement, le serpent est malade et il est nécessaire de prendre des mesures !
La plupart du temps, le refus de se nourrir est dû à des infections bactériennes du système gastrique et du système respiratoire. Cela peut aussi être dû au fait que l'animal est infesté de parasites internes, ce qui ne peut survenir que chez les animaux prélevés sauvages.
Si du mucus est présent dans la gueule du boa ou si sa respiration est bruyante, il s'agit probablement d'une infection bactérienne du système respiratoire. Si ses excréments sentent très mauvais ou s'il a la diarrhée, le système gastrique est infesté de bactéries ou de parasites.
Mais que faire si le boa ne présente aucun de ces symptômes ?
Pour comprendre pourquoi le boa refuse de se nourrir, il faut faire examiner ses excréments par un laboratoire ou par un vétérinaire. Si l'on ne dispose pas d'excréments, il convient de faire analyser un échantillon prélevé de la gueule ou de l'intestin.
Le laboratoire (ou le vétérinaire) déterminera quelles bactéries sont responsables de l'infection et quel antibiotique est indiqué (on le détermine au moyen d'un test de résistance aux antibiotiques).
Après un traitement avec un antibiotique efficace, le boa devrait recommencer à se nourrir.
Remarque :
Nous ne pouvons ici décrire toutes les raisons qui peuvent expliquer le refus de nourriture, mais ce sont là les plus courantes.
Nous avons bien sûr supposé que les conditions de maintenance sont optimales.
Mon jeune BCC du Suriname régurgite sa nourriture. Que puis-je faire ?
Il s'agit probablement du syndrome de régurgitation du Boa constrictor. Le serpent régurgite (vomit) la proie généralement entre 3 et 5 jours après l'avoir ingérée.
Remarque : le syndrome de régurgitation est l'une des causes de décès les plus fréquentes chez les vrais Redtails !!! Il s'accompagne d'une perte significative d'eau et de minéraux dans l'organisme affecté.
Le plus souvent, c'est un régime inadapté imposé par l'éleveur qui est responsable de ce syndrome !
Sont affectés principalement : les boas à queue rouge nouveaux-nés du Suriname, de la Guyane, du Pérou et du Brésil, et encore davantage Boa c. amarali et Boa c. occidentalis. Les causes possibles du syndrome de régurgitation sont : a) un système digestif insuffisamment développé chez les nouveaux-nés des sous-espèces mentionnées ci-dessus ; b) de trop grosses proies et/ou des repas trop fréquents (il s'agit là de la cause principale !) ; c) des températures et une humidité insuffisantes dans le terrarium ; d) la présence de parasites internes (chez les boas prélevés dans la nature) ; e) les infections bactériennes de l'estomac et des intestins ; f) la nervosité causée par les manipulations ou par la présence d'un spécimen dominant dans le même terrarium.
Mesures pour traiter le syndrome de régurgitation « commun » :
Définition : Le syndrome de régurgitation commun (comme je l'ai moi-même baptisé) est causé par l'ingestion de trop grosses proies et/ou par des repas trop fréquents, ou par des conditions de maintenance insuffisantes. Si le syndrome est dû à d'autres causes, il NE s'agit PAS du syndrome de régurgitation commun.
Mesures à prendre : Commencer par vérifier les conditions de maintenance : les températures diurnes doivent être comprises entre 28°C et 30°C ; les températures nocturnes doivent s'élever à 24°C environ. L'humidité ne doit pas descendre à moins de 60%.
De plus : a) il ne faut pas nourrir le boa pendant au moins 14 jours (absolument nécessaire) ; b) ensuite, commencer par une très (!) petite proie (un souriceau rosé pour les boas nouveaux-nés) et attendre 10 jours avant de proposer à nouveau une très petite proie ; c) il vaut toujours mieux nourrir fréquemment que proposer de grosses proies.
Remarque : Si plusieurs régurgitations sont survenues, les animaux peuvent être déshydratés et nécessiter des injections subcutanées de NaCl stérile. La quantité indiquée peut aller jusqu'à 4% du poids du boa. Les injections sont effectuées tous les deux jours jusqu'à ce que l'équilibre hydrique de l'animal soit redevenu convenable.
Syndrome de régurgitation inhabituel :
Diagnostic : Prélever un échantillon et le faire analyser. Un échantillon d'excrément est préférable ; toutefois, si l'on n'en dispose pas, on peut utiliser un échantillon de l'intestin (mais il faut noter que les parasites ne peuvent être détectés dans ce cas).
Mesures à prendre : Si une infection bactérienne est diagnostiquée, un traitement aux antibiotiques est requis. Si des parasites sont trouvés, utiliser le traitement prescrit. Si les régurgitations sont dues aux manipulations ou au fait que le boa est hébergé avec un spécimen dominant, vous savez déjà ce que vous avez à faire... Mais quelles que soient les causes des régurgitations, le régime alimentaire décrit plus haut s'impose absolument !
A l'aide ! Mon boa est très agressif ! Comment faire pour le calmer ?
Avant tout, il faut savoir qu'un Boa constrictor n'est pas un animal de compagnie mais un prédateur sauvage. De plus, personne ne peut prédire à 100% comment l'animal va se comporter dans l'instant qui vient.
Mais venons-en à la question :
Sortez le boa du vivarium quotidiennement (sauf quand il a mangé et quand il est en période de mue) et manipulez-le pendant 10 ou 15 minutes. Utilisez des gants au début et, quand il commence à être plus docile, essayez sans gants. Asseyez-vous, posez le boa sur vos genoux et emprisonnez le entre vos mains en exerçant une légère pression. De cette manière, il s'habituera à votre odeur.
Si l'animal est si agressif qu'il devient totalement furieux quand vous essayez de le manipuler, vous devez vous abstenir de le faire. Il n'y a rien d'autre à faire que d'accepter que vous maintenez un spécimen agressif qui ne se calmera pas.
Remarque :
L'agressivité peut être un signe de peur. Si vous aviez très peur des chiens, serait-il utile de vous forcer à les caresser ? Non ! Si votre boa reste agressif, prenez-le tel qu'il est (un animal sauvage) et laissez-le tranquille le plus possible. Vous attendez de votre partenaire qu'il ou elle vous accepte comme vous êtes ; faites-en de même avec le boa.
Nous avons plusieurs boas agressifs, y compris certains qui sont très beaux, honnêtes et francs dans leur comportement, de sorte que nous savons toujours à quoi nous attendre quand nous les manipulons.
Je pense que c'est une bonne base pour une relation saine.
Mon boa s'est échappé du vivarium. Que puis-je faire ?
Celui qui a élevé des boïdés pendant de nombreuses années et affirme qu'aucun de ses animaux ne s'est jamais échappé est un menteur. Même au plus consciencieux des éleveurs de boas ou de pythons, il arrive un jour qu'un de ses terrariums ne soit pas complètement fermé. Ingrats comme ils le sont, nos protégés profitent éhonté ment de cette opportunité pour s'évader. Plus le serpent est petit, plus il est difficile de le retrouver. Le propriétaire d'un boa à qui cela arrive pour la première fois est en général pris de panique lorsqu'il s'aperçoit que son animal s'est échappé.
C'est pourtant la pire des réactions car il est alors important de garder la tête froide et de mettre en œuvre une approche systématique du problème.
Avant de mettre la maison sens dessus dessous, il faut d'abord examiner très soigneusement le terrarium pour s'assurer que le serpent ne s'est pas simplement très bien caché.
Un coup d'oeil superficiel aux endroits occupés habituellement par l'animal n'est pas suffisant. Il faut véritablement scruter chaque recoin du terrarium (y compris le plafond), avant d'étendre la recherche. En d'autres termes, il faut que vous ayez examiné le terrarium si attentivement que vous mettriez votre main à couper si l'on finissait par y trouver le serpent.
Admettons à présent qu'il est certain que le serpent ne se trouve plus dans le terrarium. Vient alors la deuxième étape, dans laquelle vous possédez un avantage significatif : les boas et les pythons ne s'éloignent en général pas beaucoup, et il est très probable que l'animal est encore dans la pièce où se trouve le terrarium. En outre, le serpent conserve un comportement normal, ce qui signifie que le fugitif s'est caché dans un endroit de la pièce susceptible de lui fournir un abri.
Plus un endroit est inaccessible et étroit, plus il est probable que vous y trouverez votre ami apode. Si vous pensez qu'il n'est pas nécessaire d'explorer tel endroit particulier de la pièce parce que « le serpent ne serait jamais capable d'y accéder », vous avez commis votre deuxième erreur.
Les paquets de câbles électriques autour du terrarium comptent parmi les plus populaires. Les serpents aiment les escalader et s'y tenir. Un autre endroit populaire est l'espace qui se trouve entre le terrarium et le mur. Ce n'est pas de chance si le terrarium est lourd comme un camion, et vous comprenez pourquoi, dans la section consacrée aux terrariums, nous recommandons d'obstruer cet espace avec de la mousse de construction ou des planches.
Si la pièce entière (à l'exception de l'espace mentionné) a été explorée sans succès, il faut se résoudre à déplacer le terrarium, aussi pénible que cela puisse être.
Mais nous n'en sommes pas encore là car il y a d'autres choses à faire avant. Il faut d'abord enlever le plus possible d'objets et les placer dans une autre pièce après les avoir examinés attentivement. De cette manière, la pièce est plus ouverte et plus facile à appréhender. De plus, cela empêche l'animal de se cacher ultérieurement dans ces objets si on ne l'a pas trouvé le premier jour.
Cela nous conduit d'ailleurs à conseiller de maintenir toujours fermée la pièce où se trouve le terrarium, en particulier si on a affaire à un “serpent vagabond”.
Un endroit que le serpent adore, contrairement à son propriétaire, est l'intérieur d'un canapé. Si le terrarium se trouve dans la salle de séjour, il est bon de se rappeler que les serpents se cachent même là. N'oubliez pas non plus de regarder derrière les radiateurs et, le cas échéant, à l'intérieur de ceux-ci.
Lorsqu'une fenêtre est entrouverte, il peut être payant de l'examiner de près et d'explorer son voisinage immédiat. Il faut aussi garder à l'esprit que nos amis sont d'excellents grimpeurs et aiment les hauteurs : l'exploration doit donc inclure le dessus des étagères, des placards, etc.
En conclusion de ce « manuel de recherche et de sauvetage », voici quelques autres conseils :
Une lampe de poche est très utile à la recherche.
Si l'on ne trouve pas l'animal tout de suite, il faut continuer à le chercher pendant les nuits qui suivent, car c'est le moment où il y a le plus de chances que le boa soit en train de ramper quelque part.
Une vérification quotidienne de la présence de tous les animaux après les tâches d'entretien permet de découvrir tôt une « évasion », et d'augmenter ainsi les chances de trouver l'animal avant qu'il ne se réfugie dans un endroit d'accès vraiment difficile (comme derrière un placard ou à l'intérieur du canapé).
Quand un serpent s'est échappé, il est mieux de laisser la porte du terrarium légèrement ouverte (bien sûr, ceci ne vaut que s'il n'y a pas d'autres serpents dans le terrarium), ce qui donne à votre protégé la possibilité de retourner à son lieu habituel.
Si les conditions climatiques ne sont pas adaptées, la température de la pièce doit être réglée de manière adéquate (min. 23° C) afin que le serpent ne souffre pas d'une sortie de plusieurs jours hors de son terrarium.
Il est aussi recommandé de fournir un récipient d'eau si l'animal n'est pas immédiatement localisé.
Si
l'on ne trouve pas l'animal dans la pièce du terrarium, les pièces voisines
doivent être examinées exactement de la même façon, sauf si l'on souhaite
abandonner la recherche et compter sur la chance.
Cela ne pose aucun problème. Nous avons un chien et un lapin. Tous deux passent du temps dans la salle de séjour où se trouvent plusieurs terrariums.
Pourvu que les terrariums soient fermés à clef (comme ils doivent toujours l'être), il n'y a pas d'interactions dangereuses entre les boas et les autres animaux de compagnie.
Remarque : toutefois, lorsque vous sortez le boa pour le manipuler, il faut faire sortir de la pièce les chiens, les chats et les autres animaux.
Bien que les chiens et les chats n'aient pas le profil des proies de Boa constrictor, il vaut mieux se laver les mains avant de manipuler le boa quand on a pris soin de son autre animal de compagnie avant, en particulier si c'est un lapin, un cochon d'Inde ou un rat.
Des chats au cinéma Merci à notre ami Joachim Layer pour la photo ! Son site internet www.big-snake.de est hautement recommandé. |
Les croisements entre les boas n'existent-ils pas aussi dans la nature ?
Alors pourquoi les boas en captivité devraient-ils être de souche pure ?
Nous avons choisi d'utiliser l'expression « de souche pure » dans nos textes sur Boa constrictor par souci de brièveté. L'expression suivante fournit une définition plus précise de nos conceptions : « forme sauvage inaltérée ».
De fait, on trouve des formes transitionnelles de boas aux endroits où les aires de distribution de deux sous-espèces de boa constrictor se chevauchent. Cependant, ces animaux sont aussi des formes sauvages inaltérées, parce que l'homme n'est pas intervenu dans leur émergence. Ce sont des animaux qui ont évolué naturellement et leur aspect est déterminé par les conditions locales.
Ces boas n'ont rien de commun avec les bois croisés maintenus en captivité, qui ont évolué à partir de croisements arbitraires de boas originaires de régions différentes.
La détermination de la sous-espèce et de la variante d'un boa constricteur à partir d'une photo est une conjecture de peu de valeur puisqu'un boa croisé ressemble souvent à un spécimen de souche pure.
Ceux qui ne sont pas convaincus qu'il est futile de tirer des conclusions sur le lignage à partir de l'apparence extérieur devraient jeter un coup d'oeil sur une photo d'Anna Ermakova, la fille illégitime de Boris Becker. Devineriez-vous, en regardant Anna, que sa mère est une femme de couleur ? Certainement pas.
La seule méthode sûre pour identifier un boa consiste à retracer l'ascendance de l'animal génération par génération jusqu'aux spécimens qui furent capturés dans la nature (dans leur aire de distribution naturelle) et exportés ensuite vers votre pays.
Pour y parvenir, il faut interroger l'éleveur ou le propriétaire précédent du boa au sujet de l'origine des parents de l'animal. Il est souvent nécessaire de contacter l'éleveur ou le propriétaire précédents, ceux qui les ont encore précédés, etc (et ce pour la mère et pour le père de votre boa).
Autrement dit, il faut retracer le pedigree de votre boa pas à pas en remontant aux grands-parents, aux arrière-grands-parents, etc.
S'il n'est pas possible de retracer les deux lignées jusqu'à l'aire de distribution (où les animaux importés vivaient à l'état sauvage) parce qu'un des anciens propriétaires est introuvable ou ne veut pas fournir les informations nécessaires, on ne peut jamais savoir avec certitude de quel type est effectivement le boa que l'on possède.
Dans la plupart des cas, il s'avérera qu'il s'agit d'un croisement ou que le pays d'origine ne peut plus être déterminé.
...... à suivre